Ottawa devrait refuser d'être aussi généreux et, du même souffle, accepter de modifier la Loi canadienne sur la santé afin de donner aux provinces plus de marge de manoeuvre pour transformer le financement et la gestion du système.
C'est la chose à faire... mais le gouvernement fédéral ne bougera pas. Pourquoi? L'analyse d'André Picard est juste: «Le caractère sacré du système public de santé et la rhétorique de ceux que le statu quo avantage ont provoqué une aversion politique à toute réforme.» --- André Pratte
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