Chaque Québécois doit plus de 34 000 $ au provincial seulement

Vaut mieux en rire!

Avant de couper des centaines de millions dans les services, est-ce qu’on peut avoir les services ? - Michel Beaudry

30 juin, 2018

La réflexion du jour

Selon un sondage récent réalisé par le groupe de recherche Accès au droit et à la justice (ADAJ) de l’Université de Montréal, près de 75 % des Québécois affirment qu’ils n’auraient pas l’argent nécessaire pour avoir accès à la justice civile. L’accès à la justice civile est un sujet négligé, oublié, constamment relégué à l’arrière-plan des enjeux de nos gouvernements.--- Pierre Noreau et Pierre Craig

29 juin, 2018

La réflexion du jour

Malgré tout, l’investissement du gouvernement apparaît déraisonnable en regard des résultats. En effet, les fonds engagés, qui émanent du Fonds vert, doivent servir à réduire les émissions de GES, pas à améliorer les externalités positives des transports en commun. Pour cet autre objectif, m’est avis que l’argent devrait venir d’un autre fonds, pas du Fonds vert.--- Francis Vailles

27 juin, 2018

La fin de la Liberté en Occident ?

Comment trois événements, en apparence sans grand rapport les uns avec les autres, marquent dans les faits la fin de l’idée de la Liberté héritée du XVIIIe.
L’Occident moderne, c’est une idée simple, formalisée au XVIIIe siècle, mais dont les prémices sont bien plus anciennes (droit romain, christianisme, Habeas Corpus…) : celle qu’il existe des droits individuels fondamentaux antérieurs et supérieurs à toute institution humaine.
Si l’on reprend la Déclaration de 1789, ils sont formulés précisément en ces termes : « la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression ». Si l’on prend la Déclaration d’indépendance américaine, on trouve : « la vie, la liberté et la recherche du bonheur ».
Peu importe la formulation, l’essentiel est cette idée, nouvelle, que la liberté individuelle et ses corollaires (propriété de soi et des choses acquises légitimement, absence d’oppression…) sont une valeur supérieure devant guider le reste. Aussi bien dans les traditions européennes qu’américaines, a toujours prévalu l’idée que les bornes mises à la liberté individuelle se devaient d’être sérieusement justifiées. La liberté devait prévaloir « par défaut », et celle-ci constituait sa propre justification.
Mais ce temps est révolu, et personnellement je situerais le « début de la fin » à la chute du Mur de Berlin en 1989. Paradoxe suprême, c’est au moment où ont chuté les dictatures communistes de l’Est que nous avons nous-mêmes commencé à mettre fin à nos propres principes. Comme symboles de ce déclin, je retiendrai trois grands événements en Occident durant la décennie qui a suivi la chute du Mur :
  • Le traité de Maastricht (1993)
  • La montée en puissance idéologique des « nouvelles gauches » (Rocard puis Jospin en France, Clinton aux États-Unis, Blair au Royaume-Uni …)
  • Le 11 septembre 2001.
Ces différents événements, en apparence sans grand rapport les uns avec les autres, marquent dans les faits la fin de l’idée de la Liberté héritée du XVIIIe.

LA FIN DE LA LIBERTÉ AVEC LE TRAITÉ DE MAASTRICHT

Concernant le traité de Maastricht, il suffit de s’en référer au discours prophétique de Philippe Séguin en 1992 à l’Assemblée nationale, dont je laisse le lecteur prendre connaissance. Pour la première fois dans l’Histoire, les nations européennes choisissent de renoncer, volontairement, à leur capacité à se gouverner elles-mêmes.
C’est absolument inédit, et cela fait mécaniquement s’effondrer tout l’édifice sur lequel était fondé le « contrat social » depuis la mise en place des démocraties libérales, à savoir, essentiellement, la possibilité pour les citoyens de se débarrasser de ceux qui prennent des décisions contraires à leurs intérêts (étant entendu que les vraies décisions seront désormais prises au sein d’organes supranationaux non élus, par des individus impossibles à virer et qui ne représentent qu’eux-mêmes).

LES NOUVELLES GAUCHES ET LA FIN DE LA LIBERTÉ

Concernant les nouvelles gauches, auxquelles les anciens partis de droite se sont empressés de se rallier idéologiquement (aboutissant 30 ans après à la synthèse ultime : Macron), le principe est simple : l’épouvantail communiste et le danger du bloc soviétique ayant disparu, il devenait possible de pousser beaucoup plus fortement l’agenda « progressiste ».
Celui-ci repose essentiellement sur deux piliers : la fin des nations souveraines et indépendantes d’une part (poussé à son paroxysme, c’est le fantasme du gouvernement mondial unique), et « l’ingénierie sociale » comme but de gouvernement d’autre part.
On nommera ici ingénierie sociale le fait d’administrer l’État et le fonctionnement de l’ensemble de la société, qui deviennent de ce fait le résultat de décisions politiques et bureaucratiques, et non le résultat naturel des décisions, talents ou volontés individuelles de chacun, ce qui est la définition même de la Liberté.
L’ingénierie sociale se caractérise donc par l’idée que la société doit découler de la politique et non l’inverse, et c’est un des principes qui unit tous les totalitarismes, qu’ils soient durs, façon Georges Orwell, ou mous, façon Aldous Huxley.
Tant qu’existaient les fameuses Démocraties Populaires, exemples vivants des catastrophes induites par une mise en application de ces deux piliers, cet agenda était difficile à vendre. Une fois celles-ci disparues, la mémoire collective étant ce qu’elle est, il devenait plus facile de faire avancer ces idées, particulièrement en les maquillant, ô paradoxe suprême, en libéralisme.
Bien entendu, ce dernier a été complètement perverti : la Liberté n’est plus l’absence de violence ou de contrainte subie à un niveau individuel (définition de Hayek datant du XXe siècle1, applicable néanmoins aux textes fondateurs évoqués au début), mais la fin des différences de condition, d’idées, de bien-être, etc (hormis bien sûr celles sous contrôle de l’État). Ce programme étant finalement le même que celui du marxisme par des moyens différents, on comprend pourquoi il a fallu attendre la chute du Mur de Berlin pour qu’il puisse être repackagé et vendu en Occident à des électeurs ayant la mémoire courte.

LE 11 SEPTEMBRE ET LA FIN DE LA RÉSISTANCE ANGLO-SAXONNE

Enfin, dernier clou dans le cercueil, le 11 septembre 2001 a permis de saper considérablement le principal bastion de résistance, à savoir les pays anglo-saxons et leur chef de file, les États-Unis.
En effet, les Anglo-saxons, avec leur protestantisme, leur Common Law et leur vieille tradition juridique, sont naturellement plus résistants à ce genre d’idées. Il a fallu les attentats du 11 septembre 2001 pour arriver à faire passer, de manière étonnamment facile, des attaques sans précédent contre les principes fondamentaux de Liberté.
Le fameux Patriot Act, et les lois qui ont suivi, ont ouvert une brèche qui peut-être ne sera jamais refermée. Non pas tant au travers du strict contenu de ces lois, qu’au travers de la légitimité nouvelle qu’elles ont donné à une intrusion étatique forcenée dans tous les domaines, particulièrement ceux des finances, de la propriété et de la vie privées.
Toutes choses qui jusque-là auraient constitué une transgression inacceptable, bénéficient désormais d’une présomption en légitimité, par le seul fait qu’elles donnent à l’État plus de pouvoir « pour votre sécurité », puis par extension, « pour votre bien-être », faisant ainsi tomber le dernier rempart contre l’agenda progressiste et son idée centrale d’un État ayant pour rôle l’ingénierie de la société.
De la situation antérieure dans laquelle la liberté était le Bien suprême, n’ayant pas à se justifier mais étant elle-même la justification, nous sommes donc passés en l’espace d’à peine une décennie à une situation dans laquelle la liberté est devenue suspecte, et sa restriction la norme. Là où auparavant, la « charge de la preuve » incombait à celui qui voulait réduire la liberté, elle incombe désormais à celui qui veut la préserver. Il est frappant de constater qu’il ne s’agit ni plus ni moins que d’un changement de civilisation, et que celui-ci semble passer totalement inaperçu dans le débat public.
Cette situation est très grave, car historiquement, c’est la Liberté qui a été à la source de la réussite éclatante de l’Occident moderne. En remettant en cause celle-ci, tout comme l’Empire Romain a laissé tomber les principes républicains pour se transformer peu à peu en une tyrannie s’écroulant sous son propre poids2, nous scions littéralement la branche sur laquelle nous sommes assis. Si aucun soubresaut populaire ne vient renverser durablement la vapeur, nous nous dirigeons sans aucun doute vers un destin similaire.
  1. Dans son ouvrage The Constitution of Liberty, 1960 . ↩
  2. Voir l’excellent ouvrage de Philippe Fabry, Rome, du libéralisme au socialisme : Leçon antique pour notre temps, Éditions JC Godefroy, 2014. ↩

23 juin, 2018

La réflexion du jour

La chute de l’empire américain aurait pu s’appeler aussi « La chute du monde occidental ». Ce monde du décervelage, de la mise à mal des connaissances, du recul de l’intelligence au profit de l’instinct, du narcissisme, des apparences et de la vacuité spirituelle. Car ce monde dans lequel on survit encore — mais pour combien de temps et à quel prix ? — nous mène inéluctablement vers une régression de nos libertés.--- Denise Bombardier

22 juin, 2018

La réflexion du jour

« S’ils veulent rendre l’industrie aérienne canadienne plus concurrentielle et lui permettre de maintenir son élan, les gouvernements devraient privilégier une réduction du fardeau fiscal, en parallèle à la récente politique d’ouverture aux investissements étrangers. Si l’État ne peut rapprocher Montréal ou Toronto de votre lieu de vacances, il peut au moins éviter de rendre le trajet plus coûteux que nécessaire », conclut Michel Kelly-Gagnon, président et directeur général de l’IEDM.

21 juin, 2018

La réflexion du jour

La gratuité, dans les programmes gouvernementaux, vient à grands coûts pour les contribuables et à grands inconvénients pour les usagers.--- Renaud Brossard

20 juin, 2018

As the Rich Get Richer, the Poor Get Richer


The rich are getting richer, and the poor are... also getting richer. What's driving this wealth creation process? In this video, Daniel Hannan explains why it is capitalism — and capitalism alone — that has led to the unprecedented enrichment that is the central fact of Western life.

La réflexion du jour

Le rendement moyen d’IQ a été de 3,1 % pendant cette période, alors que la BDC enregistrait une performance de 10,6 %, et le Fonds FTQ, de 7,2 %. Ainsi, chaque tranche de 100 $ placée dans ces organismes vaudrait aujourd’hui 120 $ pour IQ, 151 $ pour le Fonds FTQ et 183 $ pour BDC. Une différence de taille. « Les politiciens et fonctionnaires ne devraient pas jouer aux investisseurs avec l’argent des contribuables »--- Michel Kelly-Gagnon

19 juin, 2018

La réflexion du jour

Suis par ailleurs un peu inquiet de l’augmentation des budgets qu’on vient de nous promettre ; j’ai peur que les sous qu’on annonce en grande pompe aillent nourrir l’appareil administratif qui les gère. L’administration est un monstre exponentiel sans fin et sans fond. Souhaitons que l’argent soit donné aux organismes culturels déjà en place. Ce sont les compagnies de théâtre, les festivals (FTA, FNC, RIDM, Art MURal, Art Souterrain, Fifa… et autres producteurs de contenus) qui ont déjà une structure fonctionnelle qu’il faut aider. Ils étouffent. Les ressources humaines sont à bout de souffle. On se gruge une patte pour survivre. Faut en tenir compte. Tout ça, je le répète souvent, est tenu à bout de bras avec du scotch tape et de la broche.--- Marc Séguin

18 juin, 2018

La réflexion du jour

Mais Donald Trump peut compter sur d’improbables alliés de ce côté-ci de la frontière. C’est le cas de l’Institut de recherche et d’informations socio-économiques (IRIS), l’organisme qui a pour vocation de diffuser les points de vue de la gauche syndicale et des courants dits progressistes.--- Alain Dubuc

16 juin, 2018

La réflexion du jour

Les obstacles artificiels entre les provinces ralentissent les investissements des entreprises et coûtent des milliards de dollars aux consommateurs chaque année. Une étude récente publiée dans le Canadian Journal of Economics chiffre les coûts annuels de l’absence de libre-échange interne actuel à un montant de 50 à 130 milliards $.--- Germain Belzile

14 juin, 2018

La réflexion du jour

Mais la prétendue gratuité a de bien mauvais côtés. Elle peut constituer une erreur déplorable en matière de politiques publiques. Une erreur extrêmement difficile à corriger puisque lorsqu’on a offert quelque chose de gratuit à la population, le retour en arrière est périlleux.--- Mario Dumont

13 juin, 2018

L’échec de l’écologie collectiviste


L’écologie collectiviste est en voie de disparition
Un article de Témoignage fiscal
Un peu d’histoire récente vécue. Je veux vous parler des années 1955 à 1975.
À cette époque, récemment sortie de la guerre, la France était franchement pauvre. Chaque ville possédait son bidonville, seuls les objets de première nécessité étaient accessibles, et souvent disponibles après d’importants délais. Le petit commerce faisait la loi en s’engraissant sur l’inflation. Pas d’échange ni de reprise possible, des discussions interminables en cas de marchandise défaillante, ce qui était monnaie courante.
Vers le milieu de cette période, j’ai participé à la naissance de ce que l’on nomme aujourd’hui la grande distribution.
J’ai construit de nombreux Centre Leclerc. Leur ouverture dans une ville moyenne faisait immédiatement baisser de 30% le prix des produits. Les consommateurs ont alors découvert, en même temps, les reprises sans discussion, les remplacements immédiats des marchandises défectueuses, la liberté de choisir sans avoir sur le dos un commerçant indiscret, l’anonymat de la consommation. Tant de choses qui aujourd’hui paraissent naturelles. Tant de choses qui ne le sont pas, qui ont été acquises durant cette époque de conquête. L’exemple du commerce n’est pas exclusif, les mêmes innovations s’épanouissaient dans tous les domaines, industrie, culture, science, etc…
Le plus grand nombre accédait à la consommation matérielle et intellectuelle, à la liberté d’être, de posséder, de progresser.
Pendant ces années où la société vivait cette unique et incroyable révolution, il existait forcément des forces contraires, chagrines, qui se proclamaient révolutionnaires, sans pour autant agir, sauf pour torpiller. Elles se réclamaient généralement du communisme.
En réalité la problématique était très simple, ces forces contraires visaient la hiérarchie sociale dont elles étaient insatisfaites.
Hélas dirais-je, il n’est pas de société sans hiérarchie, sans sélection. Et opérer un tri social le moins injuste possible est une gageure, un défi, qui fait et défait les sociétés.
Il existe trois méthodes de sélection qui donnent des résultats hiérarchiques relativement satisfaisants : la connaissance, la compétence et la richesse. Trois vecteurs accessibles à tous, librement.
Ceux qui réfutent ces trois procédures sont, en règle générale, des adeptes de la cooptation, solution maléfique s’il en est.
La cooptation est le fondement des organisations sociales basées sur la croyance, et qui sont des sectes en réalité, reconnues ou non. Le nazisme avait ce type d’organisation par cooptation, les pays qui ont embrassé la secte communiste aussi. Ils échouèrent évidemment.
Donc, pendant que La France faisait la part belle à la compétence, aux connaissances et à la richesse, les adeptes de la cooptation rongeaient leur frein.
Finalement, déstabilisés par les échecs des sociétés qui avaient mis en œuvre leur concept, notamment par l’évident effondrement de l’URSS leur porte drapeau, ils se radicalisèrent.
Ainsi naquirent les Brigades Rouges, rendues célèbres par leur aveuglement et leur violence gratuite. Elles étaient annonciatrices de la fin du communisme en tant que régime politique viable. La violence est la plupart du temps la forme du stade ultime de l’échec, avant disparition.
Aujourd’hui l’histoire se répète : l’écologie collectiviste est en échec, proche de la disparition.
À l’époque dont je viens de vous parler, chaque avancée apportait un profit, aujourd’hui, au contraire, chaque avancée écolo-collectiviste crée un coût ; ce qui est loin d’être la même chose, bénéficier d’une avancée ou subir un coût, pour les membres d’une société.
Il n’y a aucun doute sur le fait que toute intervention écologique génère un surcoût et une pénurie. C’est une constante.
Dans ces conditions, il est peu probable que cette organisation perdure, qu’un tel système s’impose. Il va s’éteindre seul, comme le communisme de l’URSS.
Sociologiquement, l’écologie collectiviste a été rendue possible par la cooptation qui s’est imposée comme moteur de la hiérarchie sociale.
Nous sommes gouvernés, à tous les niveaux, par des copains, liés le plus souvent par leur statut. Compétence, connaissance et richesse sont bannies. Mais qu’importe, ce n’est qu’un mauvais moment à passer, ces trois valeurs s’imposeront de nouveau demain, elles sont incontournables.
En attendant ce retour aux valeurs classiques, la faillite est à notre porte, et la violence, qui toujours l’annonce, entre en force.
Les black blocs et leur violence ne sont que le signe désespéré annonciateur de l’échec de l’écologie collectiviste, tout comme les brigades rouges étaient celui de la fin du communisme. Ce sont les mêmes individus, la même méthode, la même pensée et presque la même situation.
Il n’y en a plus pour très longtemps. Patience. Nous retrouverons bientôt la liberté et le progrès qui l’accompagne.

La réflexion du jour

Le gouvernement du Québec est-il sur le mode de l’austérité ? Le budget que Québec consacre à ses missions gouvernementales pèse lourd dans l’économie : il est actuellement à son niveau le plus élevé d’interventionnisme en 20 ans.--- Vincent Brousseau-Poulliot, La Presse+

12 juin, 2018

La réflexion du jour

Je pense que vous oubliez, M. Taillefer, que c’est la sueur qui coule du front des petits entrepreneurs qui vous permet de recevoir ces généreuses subventions et ces prêts garantis pour vos projets au rayonnement international.---Francine Laplante

La réflexion du jour

L’élection ne se gagnera pas sur des idéologies ni sur des programmes, ni sur un bilan, ni sur de l’espoir que les choses changent pour le mieux. Ça changera pas. Les gens votent pour le modèle québécois. Ils l’aiment. Les politiciens le savent. Les gens veulent des programmes, les entrepreneurs veulent des subventions, les lobbies font plier les jambes des élus, etc.--- Joanne Marcotte

11 juin, 2018

La réflexion du jour

Toutes les études rigoureuses qui se sont penchées sur la question de la baisse du financement public des écoles privées arrivent à la même conclusion : cela occasionnera des coûts importants pour l'État, ainsi que pour les contribuables par la hausse des taxes scolaires, tout en limitant le libre choix d'école aux familles québécoises. --- David Bowles

09 juin, 2018

La réflexion du jour

De belles idées limpides dans un corps clair comme de l’eau de roche. Trump vous fait peur ? Moi, ce sont les apôtres de l’hygiène qui me font freaker. L’hygiène intellectuelle, morale et physique. Des gens propres qui pensent proprement. On va nous scruter la tête comme on scrute nos rayons X, à la recherche de la moindre petite tache noire, annonciatrice d’un « cancer moral »...Richard Martineau

08 juin, 2018

La réflexion du jour

« S’il a le sentiment d’être pris dans une impasse, un animal peut se rebiffer et devenir agressif. C’est peut-être ça aussi qui est en train de se produire dans nos sociétés. »--- David Desjardins

07 juin, 2018

La réflexion du jour

La culture même de la fonction publique fédérale a besoin d’un électrochoc, selon Michael Ferguson. Sans quoi, les fiascos de gestion que sont le système de paie Phénix et le pont Champlain se répéteront inévitablement. Ottawa doit se « ressaisir », dit le chien de garde des contribuables.--- Sarah Bélisle

06 juin, 2018

CHSLD privés conventionnés

Entrevue avec Patrick Déry, analyste en politiques publiques à l'IEDM, sur comment le dynamisme entrepreneurial répond à la demande de soins pour les personnes âgées tout en offrant des services de qualité. Diffusé le 26 avril 2018, sur les ondes de LCN à l’émission de Mario Dumont.

La réflexion du jour

Finissons-en avec ce discours faussement idéaliste qui parle du pétrole de l’Ouest comme s’il s’agissait d’un virus dont nous sommes les victimes. Il s’agit d’une richesse dont nous sommes les bénéficiaires. Autant comme utilisateurs que comme contribuables du Canada.--- Mario Dumont

05 juin, 2018

La réflexion du jour

Ces énergumènes sont payés par l’État québécois pour défendre les droits des malheureux, ceux d'ici ou d'ailleurs. Leurs chèques passent par le Secrétariat à l’action communautaire autonome, une des nombreuses protubérances du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, l’empire de François Blais, le Néron de l’aide sociale.--- Michel Hébert

04 juin, 2018

La réflexion du jour

Après Kinder Morgan et La Maison Simons plus tôt cette semaine, c’est au tour de Téo Taxi de bénéficier des largesses des gouvernements. Les trois dossiers sont des exemples éclairants de ce qui arrive quand le politique se mêle d’économie. Les trois ont aussi en commun qu’on n’aurait jamais dû se rendre là.--- Patrick Déry

02 juin, 2018

La réflexion du jour

La Loi sur les impôts du Québec compte 3000 pages et 1,6 million de mots alignés pour former un texte incompréhensible pour le commun des contribuables. Le caractère hermétique des lois fiscales permet certes de faire vivre les comptables et des fiscalistes, mais il impose aux travailleurs comme aux employeurs des coûts importants en temps et en argent.--- Nathalie Elgrably-Lévy

01 juin, 2018

La réflexion du jour

Le promoteur Kinder Morgan avait déjà annoncé qu’il cessait les travaux. L’opposition du gouvernement de Colombie-Britannique­­­, les recours devant les tribunaux, les autochtones, les écolos, il y avait trop de risques à l’horizon d’être incapable de mener à bien le projet. Ils ont tout arrêté et cessé d’y pomper plus de fric.--- Mario Dumont