La Ville de Montréal a une leçon à tirer de la terrible tragédie qui a coûté la vie à trois jeunes graffiteurs, la fin de semaine dernière, sous l’échangeur Turcot, selon le directeur général du magazine «Reflet de Société», Raymond Viger.
Si les autorités municipales n’avaient pas sabré dans les budgets destinés à fournir des «murs autorisés » aux graffiteurs montréalais au début des années 2000, « on n’en serait peut-être pas là aujourd’hui», laisse tomber M. Viger.
(NDLR : À ce compte-là il faudrait créer des banques d'État pour permettre au voleur de banque de cambrioler sans risque!!!)
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