...... si un fermier veut vendre ses produits, il doit obligatoirement les vendre d’abord à l’UPA, qui ensuite les revend sur le marché. S’il vend une partie de ses produits à une boucherie, fromagerie, locale, sans l’aval , il se retrouve donc automatiquement dans l’illégalité. Si un producteur veut augmenter son revenu familial (en ajoutant, disons, deux vaches à son troupeau), il doit verser une lourde somme pour acheter des quotas (car c’est contingenté, les vaches). On peut presque dire que l’agriculture au Québec, c’est soviétique. --- L'Union Paysane
(NDLR : L'interventionnisme égale perte de liberté.)
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