Selon une étude publiée par l’Institut Fraser le nombre de nouvelles entreprises créées est un indicateur important du dynamisme économique d’une région.
Le tableau qui suit indique que dans ce domaine, comme dans la plupart des domaines économiques, le Québec est à la traîne.
En 2002-2003, le ratio des nouvelles entreprises sur l’ensemble des entreprises de petites tailles (1-9 employés) montre que le Québec est bon dernier au Canada et 53e sur 60 en Amérique du Nord.
Ce résultat se compare à la performance économique du Québec en général et ne devrait surprendre personne. En effet, plusieurs facteurs contribuent au manque de dynamisme de l’entrepreneuriat québécois. La complexité du régime fiscal, l’hyper-règlementation, le taux élevé de syndicalisation, etc. sont tous des éléments qui poussent plus d’un entrepreneur à abandonner leur rêve. Seuls les plus téméraires et dynamiques réussiront à compléter « les douze travaux d’Astérix » et à lancer leur entreprise.
Les politiciens responsables des dossiers économiques proposent invariablement la même solution pour corriger ce problème. Ils recommandent une panoplie de nouveaux programmes dans le but, disent-ils, d’aider les entrepreneurs. En pratique, cela ne fait qu’ajouter une nouvelle série de difficultés auxquelles les entrepreneurs sont déjà confrontés. Au contraire, il serait plus efficace d’abandonner les nombreux programmes d’aide inutiles, voir nuisibles, au profit d’un environnement économique libéralisé.
Malheureusement, les programmes d’aide sont beaucoup plus rentables politiquement que la libéralisation de l’environnement économique. Chaque programme génère de multiples communiqués de presse vantant le dynamisme du ministre responsable. Toutefois, le dynamisme apparent des ministres a pour effet d’étouffer le dynamisme réel des entrepreneurs.
Le tableau qui suit indique que dans ce domaine, comme dans la plupart des domaines économiques, le Québec est à la traîne.
En 2002-2003, le ratio des nouvelles entreprises sur l’ensemble des entreprises de petites tailles (1-9 employés) montre que le Québec est bon dernier au Canada et 53e sur 60 en Amérique du Nord.
Ce résultat se compare à la performance économique du Québec en général et ne devrait surprendre personne. En effet, plusieurs facteurs contribuent au manque de dynamisme de l’entrepreneuriat québécois. La complexité du régime fiscal, l’hyper-règlementation, le taux élevé de syndicalisation, etc. sont tous des éléments qui poussent plus d’un entrepreneur à abandonner leur rêve. Seuls les plus téméraires et dynamiques réussiront à compléter « les douze travaux d’Astérix » et à lancer leur entreprise.
Les politiciens responsables des dossiers économiques proposent invariablement la même solution pour corriger ce problème. Ils recommandent une panoplie de nouveaux programmes dans le but, disent-ils, d’aider les entrepreneurs. En pratique, cela ne fait qu’ajouter une nouvelle série de difficultés auxquelles les entrepreneurs sont déjà confrontés. Au contraire, il serait plus efficace d’abandonner les nombreux programmes d’aide inutiles, voir nuisibles, au profit d’un environnement économique libéralisé.
Malheureusement, les programmes d’aide sont beaucoup plus rentables politiquement que la libéralisation de l’environnement économique. Chaque programme génère de multiples communiqués de presse vantant le dynamisme du ministre responsable. Toutefois, le dynamisme apparent des ministres a pour effet d’étouffer le dynamisme réel des entrepreneurs.
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