Lors de l'euphorique période boursière qui a précédé la crise financière de 2008, le Québec a vu l'un de ses beaux fleurons, Alcan, se faire acheter par la multinationale anglo-australienne Rio Tinto. Il n'y a pas seulement les péquistes qui ont dénoncé cette prise de contrôle étrangère sur Alcan. Le chef de la CAQ, François Legault, a qualifié la vente d'Alcan comme étant «une erreur irréparable», tout en affirmant que les décisions de la multinationale sont maintenant prises à Londres ou en Australie.---Michel Girard
(NDLR : Si le PQ où la CAQ avait été au pouvoir, le gouvernement aurait utilisé le bas de laine des Québécois pour acheter Alcan.)
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