Depuis des années, les politiques agroalimentaires québécoises gonflent subjectivement les prix alimentaires afin de permettre aux recettes agricoles de se maintenir à un niveau raisonnable pour les producteurs agricoles.
Mais la province vieillit, et elle compte un bon nombre de personnes ayant un revenu fixe. Augmenter les prix sur le marché domestique n'est pas une option enviable pour plusieurs. Pour croître, l'accès à d'autres marchés est indispensable pour le Canada, mais surtout, pour le Québec. --- Sylvain Charlebois,vice-doyen à la recherche et aux études supérieures de l'Université de Guelph
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