Raymond Bachand, ex-ministre des Finances, prétendait que le
gouvernement ferait 60 % de l’effort de réduction du déficit budgétaire. On
sait maintenant que tout l’effort a été fait par les contribuables : taxe
santé, droits de scolarité, taxe de vente, taxe sur l’essence, etc.
Le gouvernement Marois prétend atteindre le déficit zéro en
mettant fin au gaspillage, mais il choisit plutôt de pelleter le déficit dans
la cour des universités et des commissions
scolaires.
Au Québec c’est ce qu’on appelle gouverner autrement.
Mario Dumont en discute avec François Gagnon
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