Une fois ce laborieux objectif (ndlr : équilibre budgétaire) atteint, le gouvernement devrait alors se mettre à enregistrer des surplus budgétaires pour qu'il puisse dégager la marge de manoeuvre nécessaire à un éventuel soulagement du fardeau fiscal de ses électeurs.
Encore là, un gouvernement responsable accepterait-il de réduire ses entrées fiscales alors que sa dette - qui représente 55% de son produit intérieur brut - aura largement franchi le cap des 200 milliards?
(NDLR : ....et ce 200 milliards n'inclut pas les dettes des municipalités, des hôpitaux, d'Hydro-Québec, ni les déficits actuariels des fonds de pension des fonctionnaires.)
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