Les organismes eux-mêmes (comme la STM à Montréal) dépensent-ils l’argent des contribuables avec une efficacité optimale? La question se pose, surtout quand on parcourt les conventions collectives béton de ces organismes. Et qu’on y lit, entre autres, que la société « s’engage à ne pas effectuer de mise à pied d’employé régulier pendant toute la durée de la présente convention collective ». Peu importe la demande, les améliorations technologiques et les gains d’efficacité qui en découleraient?
Ou quand on apprenait, en 2011, que le nombre de cadres à la STM allait passer de 37 à 41. Et leur masse salariale augmenter de 17,6 %. Pendant que le coût de la « passe » de métro augmente tous les six mois ou presque…
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