À quelques exceptions près, la gauche québécoise démonise tous
les défenseurs des libertés individuelles. Chez eux, c’est viscéral, le mot
libertarien génère des haut-le-cœur incontrôlables. Il suffisait d’entendre
Guillaume Wagner, humoriste que j’aime bien, à TLMEP le 7 octobre dernier pour
s’en convaincre.
Pourtant qui a-t-il de plus précieux que les libertés
individuelles? L’individu s’est battu pendant des millénaires pour conquérir sa
liberté. Aujourd’hui, les gauchistes, prétextant l’égalité pour tous, nous imposent
le néoesclavage. Comment pourrait-on qualifier autrement le fait que le
gouvernement, que l’on appelait autrefois le seigneur, confisque plus de 50 %
du travail des contribuables?
Voir aussi Qu’est-ce
que le libertarianisme?
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