La porte-parole des syndicats (ndlr ce n'est pas un lapsus) en matière d’éducation, la
ministre Malavoy, s’engage à satisfaire toutes leurs revendications :
éliminer le financement des écoles privées, réduire l’enseignement de l’anglais
à un niveau insignifiant et promouvoir la souveraineté dans les cours d’histoire.
Quelle merveilleuse surprise pour les syndicats qui n’en demandaient pas tant.
À ce rythme, en moins d’une génération, le Québec sera
peuplé de bons petits Québécois pauvres et captifs, mais souverainistes. Le nivellement
par le bas en éducation maintiendra les Québécois dans un état de pauvreté relative,
mais non moins certaine. Cela risque d’en convaincre plusieurs d’émigrer sous
des cieux plus cléments. Le PQ a une solution toute prête : emmurer le
Québec. L’unilinguisme enfermera les Québécois plus sûrement que le rideau de fer
d’une autre époque.
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