C’est
sans surprise que la méfiance des Québécois envers la classe politique persiste.
Au global, les professions venant
en aide aux gens de la société, comme celles du domaine de la santé, se
retrouvent dans le premier groupe du baromètre.
Les professionnels comme les
notaires, architectes ou comptables se placent dans le second groupe.
On retrouve, dans le troisième
groupe, la plupart des métiers d’analystes comme les journalistes, les
écrivains, les sondeurs ou les économistes.
Le quatrième groupe du baromètre
est composé de ceux qui chialent et qui critiquent comme les avocats, les
chauffeurs de taxi, les maires et les syndicalistes.
Finalement, ce sont les métiers
d’argent comme les gens d’affaires, les banquiers, les vendeurs, les courtiers
et les agents qui se retrouvent dans le dernier groupe, tout juste devant les
politiciens.
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