Fidèle au programme de son parti, le ministre (ndlr de l'Agriculture) fera plutôt la promotion de la souveraineté alimentaire. Cette perspective préconise une augmentation importante la consommation de produits québécois en érigeant des entraves au commerce international pour favoriser la production locale. Selon ses partisans, une telle agriculture de proximité aurait d’importants bénéfices environnementaux, économiques et de sécurité alimentaire. Voilà pour la théorie.
En pratique cependant, une politique de souveraineté alimentaire ne ferait qu’exacerber les problèmes que ses partisans disent vouloir combattre. Ce serait par conséquent un choix mal avisé pour les Québécois.--- Pierre Desrochers
Aucun commentaire:
Publier un commentaire