Comme la rémunération accapare 59,1 % des dépenses de programmes, le gouvernement ne peut «pratiquement» rien couper à ce chapitre, vu les conventions collectives en vigueur.
Il ne reste donc qu’à mettre carrément la hache dans les dépenses touchant les services à la population et l’aide financière accordée aux entreprises et aux organisations subventionnées.
Et une hausse de notre charge fiscale n’est évidemment pas écartée, loin de là.--- Michel Girard
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