Selon une étude
de l’Institut Fraser, en moins de trois ans le Québec est passé de la 1re à
la 11e place sur 96 pays et régions dans l’intention d’investir de
742 sociétés minières à travers le monde. C’est la conséquence prévisible de
l’incertitude légale et réglementaire entourant l’exploration et l’exploitation
des richesses minières et pétrolières du Québec.
Les déclarations incendiaires de la ministre des richesses
naturelles, le dogmatisme du ministère de l’Environnement, les nominations au
BAPE de dirigeants sympathiques au culte de Gaya, les déclarations
contradictoires de la première ministre, sont tous des évènements aptes à
effrayer n’importe quel investisseur sain d’esprit.
Alors que le Québec à un besoin criant d’investissements
étrangers pour créer la richesse essentielle au financement de nos nombreux
programmes sociaux, le PQ, encouragé par les groupes d’intérêt verdoyants,
s’évertue à créer un climat d’incertitude qui effraie les sociétés minières,
même les plus téméraires.
Mario Dumont en discute avec Michel Girard
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