« Les Québécois peuvent fixer leurs conditions. Mais ils ne doivent pas penser qu'on peut vivre sans développement économique », a ajouté M. Dorval.
Le patron du CPQ déplore que le Québec finance, en partie, son train de vie et ses programmes sociaux, en touchant 7,6 milliards $ de péréquation annuellement. « C'est gênant alors que le Québec est la deuxième province la plus populeuse du pays », a-t-il dit.
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