Les mesures d'austérité imposées par les créanciers de la Grèce prévoient la suppression d'ici 2015 de 150 000 postes dans le secteur public, qui emploie près d'un cinquième de la population active du pays, un taux plus élevé que la moyenne européenne.
(NDLR : On est bien loin des réformettes québécoise et canadienne. C'est ce qui arrive lorsque ce sont les banques qui doivent responsabiliser les gouvernements.)
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