Quand la présidente du Conseil du trésor, Michelle Courchesne, annonce des «compressions de 800 millions», les protestations fusent de toutes parts, surtout du côté syndical. Le pire nous est annoncé. Les «coupures» font la manchette, on demande quasiment l’intervention de la Croix Rouge.
Pourtant, les budgets consentis à l’onusienne administration québécoise ne sont pas réduits de 800 millions. On empêche plutôt qu’ils gonflent de 800 millions au-delà de la limite autorisée.
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