L'opinion des dirigeants d'entreprise en matière de finances publiques vient appuyer d'ailleurs les positions prises par le CPQ au cours des derniers mois :
- seulement 3 % des dirigeants estiment que la solution au déficit réside exclusivement dans l'augmentation des revenus;
- dans une proportion de 95 %, ils appuient l'idée d'un "cran d'arrêt" qui obligerait le gouvernement à identifier des réductions de dépenses équivalentes chaque fois qu'il annoncera un nouveau programme, un nouveau projet ou une nouvelle politique;
- en ce qui a trait aux taxes sur la masse salariale, seulement 7 % des entreprises sont d'avis que le gouvernement devrait continuer d'augmenter les cotisations pour rencontrer les coûts grandissants de ces programmes alors que près de quatre entreprises sur 10 (39 %) sont plutôt d'avis qu'il faut cesser d'augmenter les cotisations en réduisant certains bénéfices à l'intérieur de ces programmes, voire diminuer carrément les cotisations en réexaminant la structure de ces programmes (53 %)
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