Ce phénomène est particulièrement présent au Québec où une
multitude de groupuscules subventionnés s’activent pour tuer dans l’œuf tous
les projets de développement qui touchent de près ou de loin à l’environnement. Dès
qu’un de ces groupuscules fait le moindre bruit, les journalistes, sympathiques
aux dogmes réchauffistes, s’empressent
de monter la nouvelle en épingle. Ensuite, la nouvelle est reprise en boucle
par les réseaux sociaux. Enfin, les meneurs d’opinions, favorables à la pensée
unique verdoyante, se démènent pour écrire des chroniques et éditoriaux rationalisant
les arguments des contres.
Voilà, le tour est joué, les Québécois sont contre.
C’est ainsi que l’on a donné l’impression que tous les
Québécois s’opposent à l’inversion du pipeline d’Enbridge pour acheminer le
pétrole albertain au Québec et dans les Maritimes.
Pourtant les résultats d’un sondage commandé par la Fédération des chambres de commerce du Québec démontrent tout
le contraire :
……. les Québécois sont d’accord
(60 %) avec le projet de renverser le flux de la ligne 9 et très
favorables (64 %) à l’idée de faire venir du pétrole de l’Alberta par
oléoduc. De plus, les trois quarts (73 %) des Québécois préfèreraient
qu’on utilise du pétrole d’Alberta transporté par oléoduc plutôt que du pétrole
conventionnel provenant d’Afrique du Nord et transporté par bateau.
Ce résultat n’est aucunement surprenant. Il faut être de
mauvaise foi ou être un partisan de la nouvelle religion écologiste pour
prétendre qu’il est préférable d’importer du pétrole africain ou vénézuélien
par bateau plutôt que du pétrole albertain (moins cher) par pipeline (plus
sécuritaire).
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