Payé 62 millions$ en 2006 - un coût d'acquisition jugé «faramineux» par les fonctionnaires qui conseillaient la ministre Françoise Gauthier, titulaire de l'Agriculture à l'époque -, l'abattoir (l'abattoir Levinoff-Colbex, propriété de la Fédération des producteurs de bovins du Québec, vient de suspendre ses activités.) n'a jamais fait ses frais, restant complètement dépendant du soutien de l'État.
Ainsi, Investissement Québec attend toujours le remboursement d'un prêt de 19,6 millions$ et le gouvernement du Québec est à risque avec une garantie de marge de crédit de 10 millions$, argent qui a été nécessaire pour alimenter la tente à oxygène au-dessus de l'entreprise ces dernières années.---Pierre-Paul Noreau
(NDLR : plus ça change, plus c'est pareil : sauvetages d'entreprises à des fins politiques qui engloutissent des dizaines de millions. Ensuite, les politiciens prétendre que le manque d'argent les empêchent de maintenir les services à la population. Quelle hypocrisie!)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire