Nous souffrons de la «maladie de la fin du monde», juge Pascal Bruckner dans son plus récent essai, Le Fanatisme de l'apocalypse.
Prolifique historien de la haine qu'entretient l'Occident envers lui-même, l'auteur pourfend la crise aiguë de catastrophisme dont souffre en particulier la cause écologiste (cette «puissance qui dit toujours non», ironise-t-il) depuis que son souci presque unique est devenu le climat. --- Mario Roy
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