La croissance des dépenses a toutefois été plus élevée de 385 M$ que prévu, en raison de dépenses d’amortissement pour des immobilisations dans les domaines de la santé et de l’éducation. Les dépenses de programmes ont crû de 3,9% en 2010-2011.
M. Lavoie a d’ailleurs souligné que le gros de l’effort du gouvernement en matière de réduction de la croissance des dépenses serait à faire dans les prochaines années. Québec prévoit une croissance des dépenses de programmes de 3% en 2011-2012, et 2,7% en 2012-2013.
(NDLR : Non seulement le gouvernement est-il incapable de réduire ses dépenses, il ne réussit même pas à réduire le rythme de croissance des dépenses. Pathétique!)
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