Il est depuis longtemps évident que Jean Charest ne reculera devant rien pour éviter d’étaler au grand jour le système mis en place pour flouer les Québécois. Il ne reste qu’une solution : une élection.
Il faut souhaiter qu’il y ait suffisamment de brasse-camarade au congrès du PLQ en fin de semaine, pour convaincre une demi-douzaine de députés libéraux de changer de camp. Cela serait suffisant pour faire tomber le gouvernement.
On nous répète sur toutes les tribunes que ce n’est pas tous les politiciens qui sont corrompus, mais seulement une infime minorité. Je veux bien y croire, mais je n’ai jusqu’à présent rien vu pour m’en convaincre.
Que les députés libéraux honnêtes se lèvent et marchent de l’autre côté de l’Assemblée nationale.
Sans pouvoir de contraindre, l'exercice ne sert à rien. Qui ira volontairement dire haut et fort des informations que, même confidentiellement, les policiers ont de la difficulté à recueillir ? Si ça te tente, tu vas témoigner. Si ça ne te tente pas, tu n'y vas pas. Si ça te sert, tu y vas. Sinon, tu laisses faire. Encore le jeu des intérêts singuliers versus ceux de la collectivité. --- Jean-Luc Mongrain
(Source : Journal de Montréal)
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