De nous voir chaque année «dépendre» de la péréquation canadienne à hauteur de 9 milliards pour boucler notre budget me gêne.
La péréquation est conçue pour aider à traverser des périodes difficiles, pas pour se financer sur une base permanente. Sans partisanerie aucune, avant de parler de souveraineté, devenons tout d'abord autonomes. C'est une question de fierté et de responsabilité pour tous les Québécois.--- Gilbert Rozon
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