Chaque Québécois doit plus de 34 000 $ au provincial seulement

Vaut mieux en rire!

Avant de couper des centaines de millions dans les services, est-ce qu’on peut avoir les services ? - Michel Beaudry

22 janvier, 2014

Écologie, la fin

Revue de livre par Serge Rouleau

Écologie, la fin  de Christian Gérondeau aux Éditions Toucan est un ouvrage remarquable. Il dénonce les politiques ruineuses de l’État français obnubilé par les dogmes de la religion verte. Ce que Christian Gérondeau a écrit à propos du gaspillage éhonté du gouvernement français au nom du réchauffement climatique aurait très bien pu être écrit à propos du Québec pour les mêmes raisons. Il aurait suffi de remplacer France par Québec , énergie nucléaire par énergie hydroélectrique et ajuster les chiffres pour tenir compte de la plus petite taille de l’économie québécoise.

Soyons clairs, ce livre est incorrect.

Incorrect car il démontre, vingt ans après le premier sommet de Rio, que le monde entier a été trompé par le réveil d’une peur infondée venue du fond des âges, celle du changement climatique. Incorrect car il révèle comment cette peur a été orchestrée par quelques individus et organisations. Incorrect enfin car il fait les comptes. Des centaines de milliards de dollars et d’euros gaspillés chaque année au point d’handicaper lourdement le développement économique d’un grand nombre de pays, et d’abord de la France. Et cela pour rien.

Mais tout est bientôt fini car la crise dévoile petit à petit les mensonges pseudo-scientifiques. Les industries éolienne et solaire s’écroulent, les taxes sur le CO2 dans l’aérien et autres mesures sans queue ni tête sont retirées, jamais on n’a trouvé autant de pétrole, de gaz ou de charbon et pour comble, les satellites montrent que la température de la Terre ne s’accroît plus depuis quinze ans!

C’est désormais la fin de l’écologie idéologique.


Dans le même ordre d’idée le professeur de climatologie au Massachussetts Institute of Technology (MIT), Richard Lindzen, déclare : « Les générations futures se demanderont avec étonnement pourquoi, au début du XXIe siècle, le monde développé a littéralement paniqué devant une augmentation globale de la température de quelques dixièmes de degré, et, sur la base d’exagérations grossières de modèles informatiques incertains, s’est engagé sur la voie d’un recul de l’âge industriel »

Christian Gérondeau est polytechnicien et expert indépendant. Il travaille depuis plus de dix ans sur les questions environnementales.


Aucun commentaire: