Au Québec comme en Europe, les populations se sont laissé séduire par les promesses de l’État-providence. Au fil du temps, elles ont amplifié leurs demandes et les dirigeants, plus intéressés par leur carrière politique que par la santé économique de leur pays, leur ont fait croire l’impossible. Mais tout mensonge finit par être découvert, tout mirage finit par s’évanouir. Aujourd’hui, et plus que jamais, les États, y compris le Québec, ont une soif d’argent intarissable.
Je cherche une raison qui empêcherait Québec d’imiter le gouvernement chypriote et je n’en trouve aucune. L’un des derniers remparts de la propriété privée a été lézardé : l’épargne n’est plus en sécurité!--- Nathalie Elgrably-Lévy
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