Par André Dorais
On réalise peu à peu que même les individus vaccinés contre le virus SARS-CoV-2 l'attrapent et le transmettent. Malgré cela, le gouvernement du Québec impose désormais un passeport vaccinal pour certaines activités qu'il juge non essentielles. La majorité de la population québécoise ne semble pas s'en offusquer, probablement parce qu'elle est majoritairement vaccinée.
Par cette directive, les individus non-vaccinés voient leurs libertés d'action réduites. Comme si cela ne suffisait pas, on les traite de non-solidaires, de complotistes, de récalcitrants, de dangers publics, bref on les dénigre. Ce dénigrement provient non seulement de monsieur et madame Tout-le-Monde, mais de plusieurs politiciens, journalistes, médecins et autres experts, soit des personnes bien en vue et souvent en position d'autorité.
Il y a bien différentes raisons pour ce dénigrement, mais je pense que la principale raison est que les gens croient que seuls les individus non-vaccinés transmettent ce virus. Or, c'est faux. Un vaccin sert à se prémunir de maladies infectieuses ou, à tout le moins, à en réduire les effets. Cette protection accrue réduit la capacité de transmettre le virus, mais elle ne l'empêche pas. Considérant que plusieurs individus se sentent entièrement protégés une fois vaccinés, ils laissent tomber les gestes barrières et contractent le virus.
Plusieurs individus en veulent également aux non-vaccinés parce qu'apparemment ils remplissent les hôpitaux. C'est peut être vrai au Québec pour le moment, mais de là à les faire porter le blâme pour un système de santé qui est en crise de façon quasi permanente depuis sa création, c'est exagéré. Par ailleurs, aux Seychelles, en Israël, au Royaume-Uni et dans plusieurs états aux États-Unis, les individus qu'on retrouve maintenant dans les hôpitaux à cause de la Covid sont en grande majorité doublement vaccinés. C'est dire que les différents vaccins utilisés contre ce virus ne sont pas très efficaces.
Non seulement ces vaccins ne sont pas très efficaces, mais ils contiennent une part de risque dont on parle trop peu. Aux États-Unis, comme au Canada, on relate des problèmes cardiovasculaires, neurologiques, immunologiques, des cas de myocardie, de thrombose, de syndrome de Guillain-Barré, et cetera, peu de temps après avoir reçu le vaccin. Et il ne s'agit ni de cas isolés, ni de cas bénins. Des seuils de décès à ne pas atteindre lors de la mise en marché de nouveaux vaccins ont été mis en place il y a longtemps justement pour limiter l'usage des vaccins qui s'avèrent létaux. Aux États-Unis, et je présume la même chose au Canada, ces limites sont dépassées depuis janvier 2021. Les conséquences indésirables et les morts dus à ces vaccins ne cessent d'augmenter depuis, mais on continue de les utiliser! Pourquoi? Pourquoi les vaccins contre la Covid auraient-ils des seuils différents des autres vaccins avant de cesser leur utilisation? On ne parle pas de mal de tête et de simple nausée, mais de graves problèmes qui entraînent des handicaps permanents et la mort. Que faut-il de plus aux autorités pour mettre un terme à ce désastre?
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(filesusr.com)
Ce tableau a été construit à partir de données gouvernementales compilées plus tôt cette année aux États-Unis. En date du premier octobre 2021, le nombre de décès dû aux vaccins contre la Covid dépasse les 16 000 morts : VAERS Summary for COVID-19 Vaccines through 10/1/2021 – VAERS Analysis. J'insiste, non pas 16 000 morts dus à la Covid, mais 16 000 morts dus aux vaccins contre la Covid. La moyenne des dix dernières années, de décès dus à tous les types de vaccins, est de moins de 160 morts par année. On dépasse donc cette moyenne par un facteur de 100! «Pas de problème!», disent nos dirigeants et plusieurs soi-disant experts en santé. Continuons de les écouter et de blâmer les non-vaccinés... C'est tellement plus simple!
Plusieurs dirigeants de par le monde ont compris qu'il fallait cesser de miser uniquement sur ces nouveaux vaccins pour sortir de cette crise. Le Japon et l'Inde utilisent maintenant des thérapies à base d'ivermectine en phase initiale pour contrer la maladie avec succès. Pour sa part, l'Italie, qui avait tant de difficulté à gérer la maladie en 2020, utilise maintenant l'hydroxychloroquine avec succès. Ces médicaments antiparasitaires sont notamment utilisés en Afrique centrale et quelle drôle de coïncidence, on relate pratiquement aucun mort dû à la Covid dans cette région du monde:
Tableau tiré de Robert
W Malone, MD (@RWMaloneMD) / Twitter le 29
août 2021
Malgré ces données implacables, nos dirigeants persistent à préconiser l'utilisation de ces vaccins dangereux et à interdire des médicaments qui au contraire ne le sont pas. Dans un élan typique de soi-disant générosité le Premier ministre du Canada a précisé qu'il donnerait aux pays pauvres ses surplus de vaccins. 1. Ils n'en ont pas besoin! 2. Cessons de qualifier de généreux ce qui est en fait de l'arrogance!
Au Québec, les individus non-vaccinés œuvrant dans les milieux de soins seront mis à pied, sans solde. On les qualifiait d'anges gardiens il y a un an, aujourd'hui, de parias. Pour sa part, notre Premier ministre canadien, toujours enclin à se montrer plus progressiste que les autres, compte mettre à pied tous les employés fédéraux qui ne seront pas doublement vaccinés d'ici le 29 octobre prochain. J'avoue considérer qu'il y a beaucoup trop de fonctionnaires et beaucoup trop de services publics au Canada et au Québec, mais jamais je ne procéderais de la sorte pour les mettre à pied.
On ne force pas les femmes enceintes à accoucher contre leur gré, alors pourquoi force-t-on les gens à se faire vacciner contre leur gré? Ce qu'on fait de son corps n'est-il pas sacré? Introduire dans son corps un vaccin contre son gré ne constitue-t-il pas une agression au même titre que de forcer une femme à accoucher d'un enfant qu'elle ne désire pas? Certes, il y a des différences entre ces actes, mais ces différences devraient être subordonnées aux choix de chacun sur ces sujets.
On dit respecter les choix des
non-vaccinés, mais on leur retire leur emploi. Il s'agit donc d'un choix
conditionnel. Les non-vaccinés constituent apparemment un danger pour autrui,
par conséquent ils doivent être mis à pied, dit-on. Or, un individu non-vacciné
n'est pas nécessairement infecté par le virus et conséquemment tout à fait
inoffensif. Et, au contraire, les individus vaccinés peuvent également
infecter les autres. Autrement dit, on exige des individus non-vaccinés
qu'ils se fassent vacciner pour ne pas faire peur à la majorité qui croit avoir
raison parce qu'elle est majoritaire à penser ainsi. C'est pour le moins troublant!
Je ne suis pas de ceux qui veulent bloquer des routes ou lancer des tomates aux politiciens en guise de protestation, mais j'avoue que j'aimerais bien les voir traduits en justice pour incitation abusive à utiliser des vaccins dangereux. Et aux médecins et autres experts de la santé, je dis contentez-vous donc de soigner le monde plutôt que d'essayer de les contrôler par l'intermédiaire des politiques! C'est trop! Pour le bien de tous, cette hystérie collective doit cesser!
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