Malgré les gains phénoménaux du niveau de vie du dernier siècle,
il existe, particulièrement en occident, une impression que tout va de plus en
plus mal. C’est ce que le professeur Bryan Caplan appelle le « biais pessimiste ».
Ce phénomène découle du fait que les médias amplifient le
côté négatif des nouvelles et ignorent les bonnes nouvelles. À leur défense, il
faut dire que les gens carburent aux malheurs des autres. Il semble que les
malheurs des autres rendent les nôtres plus tolérables.
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