Le vrai problème est le niveau général des dépenses. La société québécoise se paie un panier de services publics plus généreux que partout ailleurs au Canada, alors que notre richesse pour le financer est moindre.
Nous vivons au-dessus de nos moyens, donc à crédit. On ne sent pas l’ombre du début d’un mouvement pour changer cela. Rien de plus tristement révélateur que notre déchirement sur la question relativement mineure des droits de scolarité universitaires.--- Joseph Facal
Aucun commentaire:
Publier un commentaire