Il existe au Québec de nombreux groupes qui préconisent l’immobilisme
dans tous les domaines d’activité. Selon ces prophètes de malheur, il ne faut
pas exploiter les mines, les hydrocarbures, les ressources hydrauliques, les
ressources marines, etc. Ces activités gâchent le paysage et mettent en péril
notre propre survie. Ils véhiculent des demies-vérité, quand ce n’est pas
purement des mensonges. Ils manipulent les émotions, en particulier la peur,
pour convaincre les gens d’adhérer à leur croisade.
À les écouter, il faudrait vivre de l’agriculture de subsistance
comme nos arrières-grands-pères ou mieux encore, disparaître de la surface du
globe.
Pourtant, depuis un siècle, l’exploitation de nos ressources
a grandement contribué à améliorer notre niveau de vie.
L’IÉDM est un des rares « think tanks » québécois,
non subventionné, qui offre un point de vue rationnel pour faire contrepoids
aux prophètes de malheur.
Par exemple, le documentaire suivant permet de comprendre
que l’exploitation forestière, loin d’être une calamité, est bénéfique pour l’environnement :
Comme vous le savez, plusieurs personnes et groupes d'intérêt affirment
que la forêt va disparaître si elle continue d'être coupée comme elle l'est
maintenant. Dans le cadre d'un documentaire éclairant sur le sujet, le
vice-président de l'IEDM, M. Jasmin Guénette, est allé interviewer des gens qui
côtoient la forêt au quotidien et voir sur le terrain la situation réelle de la
forêt afin de mesurer l'impact des coupes sur la biodiversité.
En visionnant le documentaire, on apprend que la forêt, en tant que ressource qui se régénère, peut être coupée et remise en production sans pour autant menacer son existence. D'ailleurs, les arbres trop vieux en viendraient à dépérir s'ils n'étaient pas récoltés. Conserver pour conserver ne sert à personne, pas même aux animaux qui ont besoin de forêts à différents stades de maturité pour s'alimenter.
En visionnant le documentaire, on apprend que la forêt, en tant que ressource qui se régénère, peut être coupée et remise en production sans pour autant menacer son existence. D'ailleurs, les arbres trop vieux en viendraient à dépérir s'ils n'étaient pas récoltés. Conserver pour conserver ne sert à personne, pas même aux animaux qui ont besoin de forêts à différents stades de maturité pour s'alimenter.
Source: IEDM
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