«Un relâchement important a été constaté dans la gestion des fonds publics sans compter les dérapages des investissements en infrastructures, qui exercent une pression énorme sur les dépenses du gouvernement (…) La situation de 2012-2013 nous amenait droit dans un mur si on ne réagissait pas rapidement», a commenté M. Bédard.
(NDLR le seul moyen connu de contrôler les dérapages consiste à réduire la taille de l'État.)
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