Bruno Massé, coordonnateur du Réseau québécois des groupes écologistes (RQGE), ne dérougit pas. « En 2005, on avait 500 groupes écologistes communautaires et maintenant, il n'y en a plus qu'une centaine. Chaque année, on en perd. »
(NDLR : ...et s'il y en avait seulement un ou deux, le Québec s'en porterait mieux.)
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