La situation est tellement précaire pour les organismes communautaires (ndlr : groupes écologistes) qu'ils doivent souvent cesser leurs actions plusieurs mois par année, en attendant du financement éventuel pour développer de nouveaux projets.
« Habituellement, on se met sur le chômage trois ou quatre mois par année. C'est difficile de fonctionner correctement de cette façon », a poursuivi M. Gingras. (Représentant le groupe écologiste Ambioterra)
(NDLR : Il ne lui est jamais venu à l'idée de se trouver un travail utile!)
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