Si au lieu de démoniser la participation du privé dans le
régime de santé, on utilisait ses forces, il y aurait enfin de l’espoir.
Malheureusement, les anti-privés : syndicats, ordres professionnels,
pros-étatismes, etc., pour qui la mission est de protéger leurs acquis, dominent
les médias et l’opinion publique. Seuls quelques penseurs isolés osent partager
leurs réflexions sur les avantages de la médecine privée dans un régime
universel de soins de santé. Cela retarde indûment l’inévitable.
Jasmin Guénette, vice-président de l'Institut Économique de
Montréal, analyse la place de la médecine privée dans la société.
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