L’Office québécois de la langue française a pour mission de
veiller à la prépondérance du français dans le domaine public. Mais au fil des
ans l’OQLF s’est transformé en une bureaucratie à l’esprit étroit où la lettre
de la loi a préséance sur son esprit. Cela donne des anecdotes comme le « pastagate »
et ridiculise le Québec à travers le monde.
Comme si cela n’était pas suffisant, les bureaucrates du Registraire
des entreprises se permettent de refuser des demandes d’enregistrement
d’entreprise sous prétexte que le nom choisi aurait une consonance trop
anglophone. (Voir le blogue
de Lise Ravary)
Déjà qu’une multitude de règlements interprétés étroitement
par les fonctionnaires constituent un défi titanesque pour les futurs
entrepreneurs, ils auraient bien pu se passer de cette dernière embûche. Ce
n’est pas exactement la meilleure façon de promouvoir l’entrepreneuriat
québécois.
Le zèle des fonctionnaires du Registraire des entreprises a
été la goutte d’eau qui a fait déborder le verre de Xavier Ménard.
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