Chaque Québécois doit plus de 34 000 $ au provincial seulement

Vaut mieux en rire!

Avant de couper des centaines de millions dans les services, est-ce qu’on peut avoir les services ? - Michel Beaudry

05 juin, 2013

Sommes-nous des esclaves?

Selon Wikipédia  :

« L'esclavage est l'état ou condition d'un individu sur lequel s'exercent les attributs du droit de propriété ou certains d'entre eux. »

« Voici une définition du travail forcé que l'on peut rapprocher de celle de l'esclavage : le terme travail forcé ou obligatoire désignera tout travail ou service exigé d'un individu sous la menace d'une peine quelconque et pour lequel ledit individu ne s'est pas offert de plein gré. »

« On désigne une société dont les esclaves occupent une fonction indispensable à son fonctionnement global sous les termes de  société esclavagiste »

À la lumière de ces définitions, il est clair que le gouvernement exerce sur nous des attributs du droit de propriété en confisquant la plus grande part de nos revenus.

Les Agences du revenu du Québec et du Canada confisquent, sans notre consentement,  plus de 50 % de nos revenus, sans nous fournir en retour des produits et services correspondant aux montants confisqués.

En résumé, nous sommes des esclaves à temps partiel.

Ce statut donne le droit aux politiciens de se servir de nous pour satisfaire les exigences des groupes d’intérêt.

C'est aussi ce statut qui explique l’arrogance des fonctionnaires envers les citoyens qui paient leur généreuse rémunération.

Tous en réalité nous voient comme nous sommes : des esclaves à temps partiel.

Pour abolir un régime qui profite autant à l’élite étatique et à celle de groupes d’intérêt, il faudra que des centaines de milliers de demi-esclaves descendent dans la rue avec leurs casseroles. Ce n’est pas demain la veille. L’esclavagisme favorise l’aliénation des individus, un terrain peu propice à la révolte.

Stephan Moulyneux décrit l’évolution du processus d’esclavage des humains de l’antiquité à aujourd’hui.


Aucun commentaire: