Ce n'est pas leurs opinions, mais le
ton qui me donne des boutons. Leurs discours prônant la justice
sociale et le respect de l'environnement sont souvent nécessaires
aux débats, mais de grâce épargnez-moi le ton agaçant des sermons
d'autrefois.
Par exemple, ce ton hautain et
condescendant qu'emploie Steven Guilbeault pour dénoncer ceux qui se
permettent de douter des conclusions du GIEC.
Le ton « Hors de la religion
écologique, il n'y a point de salut.» ou
Le ton « Seule la foi permet de
comprendre les mystères du réchauffement climatique. » ou
encore
Le ton « Les consommateurs
d'énergie fossile sont condamnés à l'enfer. »
Ce ton-là, je n'en peux plus. Comme si
les dogmes de la gauche écologiste leur avaient été transmis
directement par un Dieu tout-puissant.
Pour les représentants de cette
gauche-là, tout ce qui touche l'environnement est sacré et non
questionnable.
Même si on en entend peu parler dans
les médias québécois, il y a des centaines de scientifiques qui
doutent la thèse promue par le GIEC.
Vincent Courtillo, professeur de
géophysique à l'Institut de physique du globe de Paris et membre de
l'Académie des sciences, n'est quand même pas le dernier venu.
Pourtant, il n'hésite pas à affirmer :
"Le gaz carbonique est un
gaz essentiel à la vie. Ce n’est pas un polluant."
"Plus de la moitié des
membres du GIEC ne sont pas des scientifiques, mais des
administrateurs ou des bureaucrates."
"Pourquoi entre 1940 et
1970 la température baisse-t-elle alors que le gaz
carbonique, la consommation pétrole et de carburant par
l’homme augmente ?"
"Si le monde a fait face à
une augmentation de 20 centimètres [du niveau des mers] au
cours du XXe siècle, notre technologie et notre avancement
sont tels que 45 centimètres ne seraient pas insurmontables
au cours du XXIe siècle."
"Le mensonge d'État,
c'est possible. Je pense que dans le cas particulier d'Al Gore
et du film Une vérité qui dérange, on n'en est sans doute
pas loin".
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Texte inspiré par un texte de Richard Martineau
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