Les Vénézuéliens sont confrontés depuis plusieurs années à une absence cyclique d'aliments de base comme le café, la farine, l'huile, le sucre, ou de produits d'hygiène comme le papier toilette.
Le gouvernement vénézuélien a admis que le pays devait importer la moitié des aliments consommés par la population, mais confirmé que la politique d'expropriation des grands propriétaires allait se poursuivre pour augmenter la production.--- Agence France-Presse Caracas
(NDLR Le cauchemar socialiste devenu réalité.)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire