Près de 60 % d’entre eux (ndlr les médecins) disent que la qualité des soins s’est détériorée. Et maintenant que Québec vient de concéder la gestion de nos petits bobos aux pharmaciens, les médecins craignent de se retrouver de plus en plus avec «de gros cas».
La liste de leurs frustrations est longue. En gros, ils réclament plus de temps pour mieux nous soigner. Sans parler du fardeau administratif: deux heures par jour à remplir des formulaires, c’est illogique. La qualité propre d’un médecin est de soigner. Si on veut des pousseurs de crayons, on se trompe de spécialistes. --- Isabelle Maréchal
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