Je ne sais pas ce qu’il a lu depuis cette époque (l'élection de 2003), M. Charest, ou s’il s’est mis à jaser en secret avec Lisée, mais les choses ont bien changé depuis.
Il a probablement compris une chose fondamentale : la dette, ça fait partie de nos valeurs. En fait, sans la dette, nous n’aurions pas de «valeurs» de solidarité, de générosité, de fraternité. Sans la dette, finie la «social-démocratie». Finis les programmes sociaux, le filet social élastique, le partage de la richesse, la retraite à 55 ans…--- Michel Hébert
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