Leur réflexe premier (ndlr : des individus surendettés) sera évidemment de blâmer les autres : les bas taux d’intérêt qui facilitent l’emprunt, les banques qui disent que nous sommes plus riches que nous le pensons, la publicité qui fait naître des envies supposément irrésistibles, etc.
Il y a du vrai là-dedans. Mais vous me voyez venir : où est passée la responsabilité individuelle ? Tout est-il toujours de la faute des autres ?--- Joseph Facal
(NDLR : C'est le résultat inévitable de trente ans de déresponsabilisation dû au merveilleux monde de l'État nounou.)
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