Quoiqu’en disent les quelques clients qui ne savent pas
compter et qui feignent devant les caméras avoir été arnaqués pendant la
période des fêtes, ce n’est pas Uber le problème, ce sont eux. C’est trop
facile de blâmer les autres pour expliquer nos propres erreurs.
Nous devrions nous réjouir. Pour une fois, une entreprise
place les intérêts des consommateurs avant ceux des politiciens et d’un groupe
d’intérêt, les taxis. Ce n’est pas Uber le problème, c’est une réglementation
anachronique et les intérêts corporatistes de l’industrie du taxi.
Ezra Levant et Alex Pierson, porte-parole des taxis Co-Op de
Toronto, en discutent.
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