La colère des électeurs n’est pourtant pas celle du Forum social mondial et des habitués des plateaux de télé.
Le no-fault institutionnalisé, l’omniprésence de l’État, l’alourdissement de la bureaucratie et du fardeau fiscal, le sentiment que le partage de la richesse ne sert pas du tout la classe moyenne, mais les planqués assis sur un trône de congés accumulés...
Une justice de pauvres, une éducation médiocre, des urgences bouchonnées, des policiers déshonorants, des villes congestionnées, des autobus vides, des centaines de millions dans la cimenterie des incompétents...
Du vin trop cher, l’électricité trop chère...
Et des bonis versés chaque année à des employés assis sur un monopole; tout ça fout le peuple en rogne...--- Michel Hébert
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