« La connaissance des traitements disponibles peut être guidée par le type de couverture en matière de médicaments dont le patient est détenteur, car la majorité des oncologues (66 pour cent) avouent qu'ils ne suggèreraient jamais un traitement non financé publiquement à un patient sachant qu'il n'a pas accès à une couverture privée ou à des fonds personnels adéquats », a déclaré Dianne Hartling, la trésorière du conseil d'administration du RCCS. « Ceci place nos oncologues dans une position très difficile et soulève des préoccupations à propos des Canadiens vivant avec un cancer métastatique, qui pourraient ne pas avoir connaissance de tous les traitements disponibles. »
(NDLR : ...et on refuse de changer le système existant en prétextant qu'on ne veut pas d'une médecine à deux vitesses!!!)
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