Depuis quelque temps les moindres difficultés que nous rencontrons sont qualifiées de crise par les médias. Une recherche des mots crise+Québec sur google donne 1 220 000 résultats :
- L’industrie manufacturière est en crise
- La crise du logement
- La crise de l’industrie forestière
- Le système de santé vit une crise
- Les régions du Québec en crise
- Crise des finances de Montréal
- Crise du sport amateur
- Crise du cinéma
- Le réseau collégial est en crise
- La crise des soins infirmiers
- L’édition littéraire en crise au Québec
- La ministre de la culture reconnaît qu’il y a crise
- L’agriculture vit une crise
- etc.
C’est à croire que le Québec tout entier est au bord d’une « crise de nerfs ».
Généralement une « crise de nerfs » est déclenchée par un sentiment de frustration face à notre incapacité à changer une situation qui nous est inacceptable. Les politiques interventionnistes des gouvernements québécois risquent de nous maintenir en état de « crise de nerfs » perpétuel. Les politiciens nous promettent mer et monde, sachant très bien qu’ils ne livreront pas la marchandise. Les promesses non tenues – système de santé efficace, amaigrissement de l’état, réduction du fardeau fiscal, etc. – frustrent nos attentes pourtant légitimes. De plus, le gouvernement confisque la moitié de nos revenus, nous n’avons donc plus les moyens financiers pour régler nous-mêmes les problèmes qui nous assiègent. Nous sommes donc exposés en permanence aux conditions conduisant inévitablement au déclenchement d’une « crise de nerfs ».
L’approche d’une campagne électorale est un moment particulièrement propice au déclenchement de « crises de nerfs » collectives comme celles que nous vivons présentement.
Généralement une « crise de nerfs » est déclenchée par un sentiment de frustration face à notre incapacité à changer une situation qui nous est inacceptable. Les politiques interventionnistes des gouvernements québécois risquent de nous maintenir en état de « crise de nerfs » perpétuel. Les politiciens nous promettent mer et monde, sachant très bien qu’ils ne livreront pas la marchandise. Les promesses non tenues – système de santé efficace, amaigrissement de l’état, réduction du fardeau fiscal, etc. – frustrent nos attentes pourtant légitimes. De plus, le gouvernement confisque la moitié de nos revenus, nous n’avons donc plus les moyens financiers pour régler nous-mêmes les problèmes qui nous assiègent. Nous sommes donc exposés en permanence aux conditions conduisant inévitablement au déclenchement d’une « crise de nerfs ».
L’approche d’une campagne électorale est un moment particulièrement propice au déclenchement de « crises de nerfs » collectives comme celles que nous vivons présentement.
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