La ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, Michelle Courchesne, appelle les entreprises à faire leur part dans la lutte contre la pauvreté :
« La ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, Michelle Courchesne, a appelé hier les entreprises à faire leur part dans la lutte contre la pauvreté, au même titre que les autres acteurs de la société, syndicats, groupes communautaires, gouvernements. »
Pourtant, le taux de fiscalité des entreprises québécoises est déjà le plus élevé en Amérique du Nord, mais cela n’est pas suffisant. Il faut, en plus de payer le gouvernement, que les entreprises règlent elles-mêmes les problèmes créés par ce même gouvernement. Ce n’est rien de moins que de la démagogie électoraliste.
La pauvreté relative des Québécois découle des politiques interventionnistes des gouvernements qui se succèdent à Québec. Si la ministre est sérieuse dans sa quête pour réduire la pauvreté elle devrait promouvoir, auprès du conseil des ministres, des politiques gouvernementales favorables à la création de richesses.
Ces politiques sont bien connues et ont fait leur preuve là ou elles ont été appliquées :
Libéraliser l’environnement économique.
Année après année l’Institut Fraser démontre que le niveau de pauvreté d’une population est directement proportionnel au manque de liberté économique. En Amérique du Nord, l’indice de liberté économique du Québec se retrouve systématiquement dans le peloton de queue depuis le début des années quatre-vingt. Malgré tout, les gouvernements québécois de tous les partis persistent à promouvoir des politiques qui restreignent la liberté économique des individus et des entreprises.
Respecter la propriété privée.
Le taux de fiscalité usuraire qui prévaut au Québec est une forme indirecte d’expropriation. De plus, les groupes de pression exigent et obtiennent de plus en plus de lois et règlements qui limitent les droits de propriété. Ces lois et règlements sont justifiés en prétextant promouvoir le bien commun. Pourtant, ces groupes de pression représentent les intérêts d’une infime partie de la population.
Favoriser la compétition dans tous les domaines.
La compétition est le seul moyen d’optimiser l’utilisation de ressources limitées. L’utilisation optimale des ressources maximise la création de richesse et donc minimise la pauvreté. Les monopoles gouvernementaux sont inefficaces et gaspillent un pourcentage important de la richesse des Québécois. Ils sont une cause importante de la pauvreté relative du Québec. De plus, les grandes entreprises ont une influence indue sur le développement des politiques gouvernementales. Elles favorisent le protectionnisme et encouragent le « bien-être corporatif (corporate welfare) » au détriment de compétiteurs plus efficaces et aux dépens des contribuables.
« La ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, Michelle Courchesne, a appelé hier les entreprises à faire leur part dans la lutte contre la pauvreté, au même titre que les autres acteurs de la société, syndicats, groupes communautaires, gouvernements. »
Pourtant, le taux de fiscalité des entreprises québécoises est déjà le plus élevé en Amérique du Nord, mais cela n’est pas suffisant. Il faut, en plus de payer le gouvernement, que les entreprises règlent elles-mêmes les problèmes créés par ce même gouvernement. Ce n’est rien de moins que de la démagogie électoraliste.
La pauvreté relative des Québécois découle des politiques interventionnistes des gouvernements qui se succèdent à Québec. Si la ministre est sérieuse dans sa quête pour réduire la pauvreté elle devrait promouvoir, auprès du conseil des ministres, des politiques gouvernementales favorables à la création de richesses.
Ces politiques sont bien connues et ont fait leur preuve là ou elles ont été appliquées :
Libéraliser l’environnement économique.
Année après année l’Institut Fraser démontre que le niveau de pauvreté d’une population est directement proportionnel au manque de liberté économique. En Amérique du Nord, l’indice de liberté économique du Québec se retrouve systématiquement dans le peloton de queue depuis le début des années quatre-vingt. Malgré tout, les gouvernements québécois de tous les partis persistent à promouvoir des politiques qui restreignent la liberté économique des individus et des entreprises.
Respecter la propriété privée.
Le taux de fiscalité usuraire qui prévaut au Québec est une forme indirecte d’expropriation. De plus, les groupes de pression exigent et obtiennent de plus en plus de lois et règlements qui limitent les droits de propriété. Ces lois et règlements sont justifiés en prétextant promouvoir le bien commun. Pourtant, ces groupes de pression représentent les intérêts d’une infime partie de la population.
Favoriser la compétition dans tous les domaines.
La compétition est le seul moyen d’optimiser l’utilisation de ressources limitées. L’utilisation optimale des ressources maximise la création de richesse et donc minimise la pauvreté. Les monopoles gouvernementaux sont inefficaces et gaspillent un pourcentage important de la richesse des Québécois. Ils sont une cause importante de la pauvreté relative du Québec. De plus, les grandes entreprises ont une influence indue sur le développement des politiques gouvernementales. Elles favorisent le protectionnisme et encouragent le « bien-être corporatif (corporate welfare) » au détriment de compétiteurs plus efficaces et aux dépens des contribuables.
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