Justement, le Code du travail québécois, comme l’exprimait le CPQ, affaiblit la productivité et la compétitivité du Québec en effrayant les investisseurs étrangers et en rendant la vie plus dure à nos entrepreneurs. Le résultat est que nous produisons moins et que nous sommes plus pauvres que nos voisins depuis plus de trente ans, nonobstant la crise actuelle.
Renforcer le Code du travail n’aura que davantage d’effets pervers sur notre économie. Si les chefs syndicaux veulent vraiment accroître le pouvoir d’achat des ménages et travailleurs d’ici, c’est ça qui devrait plutôt les préoccuper. --- Michel Kelly-Gagnon
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