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18 avril, 2023

UN CONSENSUS SCIENTIFIQUE SUR LE RÔLE NÉFASTE DU CO2 EXISTE-T-IL ?

 

Quelle sera l’augmentation future de la température moyenne mondiale en cas de doublement de la teneur en CO2 dans l’atmosphère, soit de 0,03% initialement à 0,06% ? Il a fallu 150 ans, depuis le début de l’ère industrielle, pour passer de 0,03% à 0,04%. Un prétendu consensus scientifique sur la question est prêché par I’ONU, le GIEC, les ONG écologistes et les services officiels. En reprenant les communiqués du GIEC, le site « Vie publique » de la République française écrit : « La tendance actuelle est plutôt celle d’un réchauffement de 4°C ou 5°C » qui est attribué à l’homme, au CO2 qu’il émet. Or on relève 109 publications scientifiques sur le sujet dont 62 concluent que l’effet du CO2 est sans effet ou négligeable, voire d’effet négatif sur la température terrestre. Pas moins de 15 autres publications évaluent ce réchauffement à moins de 0,5°C et 32 autres donnent moins de 1°C. En résumé, les publications, même récentes, situent le réchauffement prévu pour un doublement de la teneur en CO2 depuis l’ère préindustrielle à un niveau toujours inférieur à ce qui est communément prétendu. On constate ainsi de grandes incertitudes et l’absence totale de consensus sur ce sujet.

Il existe deux catégories d’études : une, majoritaire (57%), pour laquelle le CO2 n’a aucune incidence sur la température terrestre et une autre, minoritaire, qui attribue en moyenne une hausse de 0,6°C à un doublement futur du CO2 en cautionnant un rôle significatif accordé à des phénomènes radiatifs selon une théorie d’effet de serre.

De plus nous sommes très loin d’un doublement du CO2 et nul ne peut prédire si celui-ci se produira, ni, s’il se produit, quand. Le CO2, gaz vital et indispensable, à sa concentration actuelle très faible de 0,04% dans l’atmosphère, ne jouera donc qu’un rôle mineur ou nul dans l’évolution de la température qui a déjà progressé de 1,1°C depuis le XIXe siècle.

En conclusion, il n’y a pas d’urgence climatique et nous nous trouvons bien au contraire dans une période optimale à tous points de vue (température, productions agricoles, espérance de vie, etc.). L’augmentation de la température moyenne constatée doit être attribuée à une reprise progressive naturelle à la hausse depuis la fin du petit âge glaciaire qui s’est achevé aux alentours de 1850. Nous sommes sous l’emprise d’une manipulation collective des esprits, inégalée à ce jour, et pour laquelle la science est détournée et utilisée au service d’une idéologie qui exploite des inquiétudes artificielles en stigmatisant le CO2, pour imposer à tous la foi en la décroissance.

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